La dernière édition de la manifestation ICIC en tant que telle vient d’avoir lieu à Heidelberg en Allemagne, citée universitaire charmante mais toujours aussi peu pratique d’accès.
Le schéma précis de cette organisation est original. Il a été créé il y a bien longtemps par Harry Collier et sa société Infonortics et a résisté fort longtemps, bien plus que le fameux Online de Londres qui a aussi duré longtemps mais s’est effondré totalement en quelques années, son modèle n’ayant finalement pas résisté aux évolutions, en particulier celle du Web.
On ne reviendra pas en détail sur les facteurs de succès de l’ICIC mais on rappellera l’originalité du couplage de la mini-exposition attenante à la conférence plénière sans sessions parallèles avec les présentations de 10 minutes des exposants. Autre détail bien pensé et pourtant évident, que nous n’avons jamais rencontré ailleurs, des badges de taille normale mais écrits en gros caractères, et surtout, imprimés recto-verso. C’est unique et pourtant élémentaire.
Cette session était une session de transition car malgré le format performant, tant le nombre de participants que le nombre d’exposants a inéluctablement décru depuis plusieurs années.
Déjà abonné ? Connectez-vous...