A l’occasion de la dernière réunion annuelle du CFIB (Club francophone d’information brevet), Marie-Pierre Vidonne, directrice du cabinet suisse Innovea, a fait un fort utile tour d’horizon des possibilités de libre accès (open access) à la littérature scientifique.
Ces problématiques sont apparues peu après que les articles scientifiques soient devenus disponibles sous forme électronique. S’est, en effet, alors posé le problème des modalités de leur accessibilité.
Après une petite pause d’un an et demi qui a suivi le rachat d’Intellixir et de GEM360 en 2015, Questel poursuit à nouveau ses acquisitions de sociétés offrant des services complémentaires aux siens dans le domaine de la propriété industrielle avec le rachat de la société américaine ITIP.
On sait que Questel est, de longue date, bien implanté au Etats-Unis en particulier après l’acquisition en 1994 d’Orbit, l’un des plus anciens serveurs américains spécialisé, en particulier, dans les brevets. Il était donc tout à fait cohérent de racheter en mars dernier la société ITIP (10M$ de CA en 2016), de surcroît peu implantée en Europe.
Scopus est un agrégateur de références d’articles scientifiques qui propose 69 millions de références issues de 22 000 publications de plus de 5 000 éditeurs.
L’accès au service est payant, le modèle étant celui du forfait annuel souscrit par des Universités, des entreprises…
Outre l’accès payant, Scopus offre un service gratuit d’identification d’auteur, basé, bien sûr, sur l’ensemble de son fonds.
La presse est une des sources d’information clé pour la veille et la recherche d’information.
Pour interroger la presse que ce soit pour la France ou à l’étranger, on pense généralement aux solutions suivantes :
. consulter directement les sites des titres de presse
. effectuer une recherche sur Google Actualités
. ou encore interroger les agrégateurs de presse qui agrègent des dizaines de milliers de titres et proposent une interface avec des fonctionnalités de recherche avancées et expertes comme Factiva, Pressedd, Europresse, Nexis, etc.
Nous avons effectué récemment une recherche dans la presse française sur les tiques, des acariens plutôt désagréables, responsables en particulier de la transmission de la maladie de Lyme.
Pour chercher dans la plus large couverture de la presse française, nous avons utilisé Pressedd.
A notre surprise nous avons trouvé, pour la période du 1er au 30 juin 2017, 1 343 réponses, incluant d’éventuels doublons, de même que des articles identiques publiés dans différentes éditions de quotidiens régionaux.
METHODOLOGIE
• Identifier experts, influenceurs ou talents : sources et méthodologie
TENDANCES
• La recherche vocale : quelles conséquences pour la veille et la recherche d’informations ?
CAS PRATIQUE
• Comment repérer les contrats gagnés par ses concurrents ?
OUTILS DE VEILLE
• Le paradoxe des outils de veille gratuits ou freemium
Nous avions consacré la Une du dernier numéro de NETSOURCES à la recherche d’information appliquée aux personnes.
Cet article portait sur un aspect spécifique : la recherche et la veille sur des personnes dont on connaît le ou les noms (dans le cadre d’une démarche de e-réputation, de réalisation de biographies, de vérification d’informations sur une personne, ou pour retrouver des déclarations).
Cette fois-ci, nous allons aborder l’autre pendant de la recherche d’information sur les personnes : l’identification d’experts, d’influenceurs, ou de talents répondant à des critères précis.
Le gouvernement canadien propose un site terminologique qui vient en complément des nombreuses possibilités existantes comme, tout simplement, l’offre traduction de Google et les possibilités proposées par l’OMPI (Organisation Mondiale de la Propreté Intellectuelle) ou Worldnet.
Nous évoquions ce sujet dans notre article « Des outils pour enrichir le vocabulaire d’une recherche en anglais » (Bases n° 342, novembre 2016).
Pour en savoir plus : https://www.btb.termiumplus.gc.ca/tpv2alpha/alpha-fra.html?lang=fra
Nous avons décidé d’introduire dans chaque numéro de BASES une nouvelle rubrique « RETOUR D’EXPERIENCE » dans un but de partage d’expériences entre professionnels de l’information qui exercent un même métier mais avec des réalités très diverses et dans des secteurs très différents : évolutions du métier au travers d’une expérience concrète, innovations dans les pratiques, découvertes de nouvelles sources d’informations, astuces et méthodes de recherche et de veille, vision de l’avenir du métier, etc.
Pour ce numéro, nous avons interviewé Fanny Glassier, documentaliste/chargée de formation à KEDGE Business School à Bordeaux.
A écouter les dirigeants de Google ces derniers mois, la voix est l’avenir de la recherche sur le Web.
Après les évolutions des moteurs et notamment de Google vers la recherche sémantique (voir notre article « La mort annoncée de la recherche booléenne ? » - BASES n°340 - Septembre 2016), l’heure serait donc à la recherche vocale.
Si les évolutions de la recherche sémantique ont bien impacté les pratiques de recherches d’informations professionnelles et de veille, peut-on en dire de même pour la recherche vocale ?
Depuis le début de l’année, on voit fleurir diverses études montrant l’utilisation croissante de la recherche vocale, notamment aux Etats-Unis. Mais que nous disent-elles exactement ?