Le GreyLit Report offre la publication bimensuelle "Grey literature report in public health".
Cette publication est réalisée par the New York Academy of Medicine et recense la littérature grise dans le domaine médical. On peut s'abonner à cette publication et également chercher dans les archives.
Les références obtenues sont assez détaillées et on dispose d'un lien vers le document.
D'après l'article de Danielle ALOA, bibliothécaire spécialisée à l'Académie de Médecine de New York, publié dans I2D n°1 (Mars 2015), 2 000 personnes sont abonnées à ce service gratuit.
Curieusement on ne trouve pratiquement aucune référence à GreyLit Report dans les banques de données, en tout cas aucune dans celles que nous avons interrogées.
La seule mention que nous ayons trouvée est celle de l'article d'ID2 à l'origine de cet article, dans Cairn.
Mais le présent article sera prochainement référencé dans différentes banques de données. On trouvera donc au moins une mention de GreyLit Report
OSTI est l’acronyme de « Office of Scientific and Technical Information » de l’US Department of Energy
Ce site est une porte d’entrée vers les différentes ressources offertes par le DOE dont voici une sélection :
- SciTech Connect regroupe les contenus de deux des collections les plus connues du DOE à savoir DOE Information Bridge et Energy and Citation Database.
Ce service contient plus de 65 ans d’information scientifique et technique issue du DOE et des agences qui l’ont précédé.
On trouve plus de 2,7 millions de citations dont 1,5 million citations d’ articles de revues ainsi que plus de 400 000 rapports d’études financées par le DOE :
C’est en fait une passerelle vers 35 000 sites Web, plus de 50 banques de données et 3 100 sociétés savantes.
RePEc (Research Papers in Economics) est une initiative collaborative de plusieurs centaines de volontaires originaires de 84 pays dont le but est d'améliorer la diffusion de la recherche en économie et dans les sciences connexes.
RePEc réunit 1 750 archives de 84 pays qui proposent en tout 1,8 million de documents issus de plus de 2 200 publications et 4 000 séries de working papers. Par ailleurs 45 000 auteurs se sont enregistrés.
Cette initiative a généré plusieurs services extrêmement intéressants dont nous présentons ici une sélection.
Le premier est IDEAS, un service qui offre plusieurs options : une banque de données réunissant l'ensemble des documents de RePEc (http://ideas.repec.org) qui référence 1,8 million de documents dont 1,6 million sont téléchargeables en texte intégral. Il s'agit pour l'essentiel d'articles (1,1 million) et de working papers (plus de 628 000). On trouve le lien vers cette banque de données dans la liste des RePEc services sur la page d'accueil.
Le Centre pour les études de sécurité (Center for Security Studies ou CSS) à l’ETH (Eidgenössische Technische Hochschule Zürich, en anglais Swiss Federal Institute of Technology Zürich) a pour mission de promouvoir la compréhension des défis de la sécurité afin de créer un monde plus pacifique.
Le Centre offre une expertise dans les problématiques de sécurité et a des activités de recherche, d’enseignement et de consulting.
Il se définit comme une passerelle entre le monde académique et la pratique.
Le CSS opère par ailleurs l’ISN (International Relation and Security Network) qui est une plateforme en libre accès proposant des informations dans le domaine des relations internationales et des politiques de sécurité.
De nombreuses ressources (articles, rapports, vidéos) sont disponibles dans une variété de domaines.
EBSCO Information Services est un des acteurs majeurs du monde de l’information depuis maintenant de nombreuses années.
Nous avons récemment eu l’occasion de tester leur plateforme de recherche EBSCOhost et l’accès à plusieurs de leurs bases de données (en l’occurrence Newspaper Source Plus et Business Source Corporate).
L’occasion pour nous de faire une présentation détaillée de ce service qui ne manque pas d’atouts.
Les grands serveurs et éditeurs scientifiques ont, pour certains, une actualité foisonnante qu’il n’est pas toujours facile de suivre.
Cette nouvelle rubrique, qui a vocation à paraître tous les deux mois en alternance avec Brèves de contenu (consacrée aux nouveaux contenus des serveurs), permettra donc de suivre les faits les plus importants des acteurs majeurs du secteur (stratégies, nouveaux produits et services, faillites, rachats d’entreprises, etc).
EBSCO a récemment lancé Orbit, un catalogue en ligne d’applications destinées à améliorer la satisfaction des utilisateurs d’EBSCO Discovery Service. Orbit propose une collection d’une centaine d’applications conçues pour améliorer l’expérience de recherche, valoriser le contenu, augmenter les interactions au sein de la bibliothèque et s’intégrer avec une grande variété d’environnements tiers.
EBSCO Information Services propose depuis peu un outil baptisé « Newsletter Builder » permettant aux professionnels de l’information de construire et réaliser très simplement des newsletters destinées à être partagées au sein de l’entreprise. Il permet de collecter et mettre en page des informations et résultats de recherche issus d’ EBSCO Discovery Service, des bases de données d’EBSCOhost mais également de ressources externes à EBSCO et offre la possibilité d’ajouter des commentaires.
Après une excursion dans les pays germaniques, ICIC revient en France, à Nice plus précisément, ville certainement plus facile d’accès qu’Heidelberg.
La formule classique est reprise : pas de sessions en parallèle, petite exposition attenante avec courtes présentations en plénière des exposants.
Le programme est maintenant bouclé.
Il laisse une large part aux brevets, en particulier dans le domaine de la chimie, ce qui correspond bien au positionnement de cette manifestation.
Nous poursuivons notre série d’articles sur les ressources par pays en nous intéressant cette fois-ci à l’Angola.
Le pays présente des perspectives intéressantes pour de nombreuses entreprises et investisseurs étrangers de par la richesse de son sol et sa croissance, l’une des plus dynamiques d’Afrique.
Pour autant, ce n’est pas un pays facile à aborder : d’une part à cause de la langue officielle, le portugais que peu de personnes maîtrisent et d’autre part, en raison du manque de sources d’informations locales et de leur manque de transparence et de fiabilité, même pour les sources officielles.