On a le choix entre :
Acheter des contenus sous licence (par exemple des photos de stocks : Fotolia, 123Ref, etc…)
Recourir au tout gratuit en se limitant aux contenus sous licence Creative Commons.
LinkedIn est principalement connu pour être le réseau social professionnel leader du marché
Pour la recherche d’informations et la veille, on se tourne en priorité vers lui pour rechercher des profils pour un poste, ou pour obtenir des informations sur une personne.
On peut s’abonner à des groupes thématiques pour suivre les discussions sur différents sujets et bénéficier des articles/ressources partagés par les membres. Depuis quelques années néanmoins, on constate que les groupes se transforment de plus en plus en espaces publicitaires où les membres et entreprises communiquent sur leur propre actualité, ce qui a moins de valeur ajoutée a priori.
Nous apprenions il y a quelques jours dans un communiqué de presse de l’Union Européenne de Radio-Télévision (UER) que les adresses internet avec une extension
.radio
allaient être mises sur le marché en 2017.
Cela va se faire selon plusieurs vagues successives.
Le but : fédérer la communauté des 65 000 radios hertziennes et des 60.000 webradios dans le monde. A noter qu'une radio devra débourser 200 euros pour acquérir cette extension.
En février et mars 2017, l’UER va sélectionner 80 radios dans le monde parmi celles ayant fait une demande et leur attribuer une extension .radio
. Ce n’est qu’en mai et juin que les autres radios pourront à leur tour postuler.
Ce document fait la liste des 100 articles issus de la presse scientifique qui ont suscité le plus d'attention et de discussion sur les sites d'actualités, Facebook, Twitter, blogs, etc.
Celui qui vient en tête est l'article de Barack Obama sur la réforme de la santé dans la publication médicale JAMA. Le suivant est un article qui fait apparaître que les erreurs médicales sont la troisième cause de mortalité aux Etats Unis. Le troisième, qui n'a rien à voir avec les deux précédents, relate la collision de deux trous noirs.
Les Américains sont les auteurs les plus représentés, ils sont 75, suivis par les Anglais avec 33 contributeurs.
Les sciences médicales représentent près de la moitié des sujets traités (49 sur 100), le virus Zika en faisant, bien sûr, partie.
Viennent ensuite la biologie, les sciences humaines, les sciences physiques et l'environnement.
Auteur : François Libmann, Directeur de publication
ArXiv, une archive ouverte très connue de prépublications électroniques d'articles scientifiques étend sa couverture à la psychologie avec PsyArXiv.
Elle offre, à son démarrage, 238 preprints, à comparer à l'ensemble d'ArXiv qui offre plus de 1,2 million de documents en physique, mathématique, informatique, biologie, finance et statistiques.
ArXiv a été créée en 1991 comme une archive pour les prépublications de physique.
Lien : www.psyarxiv.com
Auteur : François Libmann, Directeur de publication
La phase de sourcing, c’est-à-dire l’identification des sources d’informations pertinentes est un élément essentiel de tout processus de veille. On peut bien évidemment créer des alertes sur des moteurs, réseaux sociaux, agrégateurs de presse tous azimuts ce qui peut générer un bruit considérable mais on a aussi et surtout intérêt à identifier et mettre sous surveillance des sources précises en lien avec son sujet.
Différentes méthodes sont possibles pour y parvenir : interroger des moteurs de recherche, des médias sociaux en testant plusieurs stratégies de recherche plus ou moins ciblées, explorer des sites de référence à la recherche d’une rubrique « liens » qui redirigerait vers d’autres sites pertinents, etc.
Rechercher les déclarations d’une personne dans la presse ou sur le Web peut vite devenir un véritable casse-tête car il n’existe pas de moyen simple et direct pour identifier ces éléments.
Même si plusieurs acteurs dont Google avaient déjà tenté d’explorer ce marché, l’offre était jusqu’à présent quasi-inexistante et il fallait recourir à des stratégies de recherches longues et complexes sur le Web ou les agrégateurs de presse pour obtenir un résultat satisfaisant.
Depuis peu, une start-up française, Storyzy s’est lancée sur ce créneau en proposant un moteur de recherche spécialisé sur les citations. Ce moteur se définit comme «un moteur qui vous permet de savoir qui a dit quoi sur n’importe quel sujet».
Chaque année la National Library of Medecine (NLM) fait évoluer son célèbre thesaurus MeSH (Medical Subject Headings) avec ajout, suppression ou modification des termes.
La version 2017 est maintenant disponible et la banque de données accessible sur plusieurs serveurs va être entièrement rechargée avec cette version. Le rechargement sur Dialog Proquest est annoncé pour le 15 janvier prochain (bases de données MEDLINE et ToxLine).
Auteur : François Libmann, Directeur de publication
Le marché des moteurs de recherche «à modération humaine », comme les qualifie Phil Bradley sur son blog orienté internet & médias sociaux, n’en finit pas de mourir et de se régénérer. La disparition du moteur ChaCha coïncide avec l’arrivée d’Askwonder. Les interfaces et les business models varient mais ces moteurs reposent tous sur un même principe : le client sous-traite sa recherche d’informations (sur tous sujets) à une armée d’experts distants via un site web.
A priori effrayants, - on pense à tous les emplois détruits des vrais professionnels de l’information, remplacés par des cohortes de chercheurs incertains et surtout invisibles, - ces moteurs, de par cette perpétuelle renaissance, sont intéressants à plus d’un titre.
Ils sont d’abord la preuve vivante que les moteurs de type Google n’ont pas remplacé le besoin d’expertise et de médiation humaine face à l’outil. Même pratiquée dans des conditions dégradées, l’intervention humaine demeure nécessaire et elle est ici toujours reconnue et fortement valorisée, puisque ces moteurs se lancent à coût d’investissements importants.
Tout le monde ou presque utilise Google pour rechercher de l’information. S’y limiter présente néanmoins quelques risques : l’un des plus importants étant de passer à côté de contenus pertinents non accessibles sur le Web ouvert ou mal référencés.
Pour mener une recherche efficace sur Google, on peut bien évidemment tirer parti des différentes fonctionnalités proposées par le moteur (recherche sur un site ou une extension précise, recherche sur certains types de fichiers, recherche sur les titres de pages, etc).
Les fonctionnalités sont toujours nombreuses mais certaines ont disparu ces dernières années et d'autres n’ont tout simplement jamais fonctionné correctement (comme l’opérateur de proximité AROUND par exemple).
Mais saviez-vous que certains concurrents de Google comme Bing, DuckDuckGo ou encore Yandex proposent quelques fonctionnalités originales ou innovantes que l’on ne retrouve pas chez le géant américain ?