Depuis plusieurs mois, on ne comptait plus les actualités négatives sur les fonctionnalités de recherche de LinkedIn. Car si le réseau social est toujours leader sur le marché et propose des fonctionnalités toujours plus innovantes, l’aspect recherche ne semblait pas ou plus être une de ses priorités.
Il semble que LinkedIn ait décidé de faire machine arrière puisqu’il réintroduit des fonctionnalités de recherche même dans sa version gratuite.
Cela coïncide avec le lancement de sa nouvelle interface depuis le 20 janvier dernier. Tout le monde n’en dispose pas encore car le déploiement se fait progressivement dans tous les pays du monde.
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TENDANCES
• Facebook incontournable pour la veille et la recherche ? Fantasme ou réalité ?
AGENDA
• I-expo 2017
BASES DE DONNEES
• OneSource: la future plateforme de référence de l’information business ?
EN BREF
• A lire
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Facebook a, depuis ses débuts, l’image d’un réseau social grand public orienté vers la sphère privée avec, de fait, un intérêt limité pour la veille et la recherche d’information, à l’exception des veilles d’opinion, marketing ou encore d’e-réputation où l’on se focalise justement sur l’opinion publique.
Depuis quelques années, Facebook propose de nouvelles fonctionnalités et innovations qui l’ont fait progressivement entrer dans la sphère professionnelle, quitte à marcher dans certains cas sur les plates-bandes de Twitter ou encore de LinkedIn. Mais Facebook est-il pour autant devenu un terrain de chasse incontournable pour tous les professionnels ?
Nous sommes partis de l’hypothèse, pour cet article, que Facebook constituait une mine d’informations insoupçonnées, les lectures d’articles et d’ouvrages que nous avions pu faire au cours de dernières années pouvant aisément le laisser supposer. Qu’en est-il exactement ? C’est ce que nous avons commencé par mesurer, via l’analyse du contenu de Facebook et de ses mouvements stratégiques dans la sphère informationnelle. Nous avons ensuite exploré ses possibilités fonctionnelles en termes de recherche et veille.
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Avention : un acteur historique de l’information business en Amérique du Nord
Depuis plus de 30 ans, la société Avention (ex-OneSource jusqu’en 2014) est un acteur clé de l’information business et plus précisément l’information sur les entreprises, industries et marchés.
Son marché principal est historiquement en Amérique du Nord mais l’entreprise est également présente dans le reste du monde et notamment en Europe. L’entreprise dispose d’ailleurs de bureaux à Londres pour couvrir le continent européen avec des équipes maîtrisant les différentes langues dont le français. Elle reste néanmoins peu connue en France.
Avention propose deux produits à même d’intéresser les professionnels de l’information :
Le maintien de deux interfaces distinctes répond surtout à une demande de clients qui ne souhaitaient pas basculer sur la nouvelle plateforme.
Nous avons eu l’occasion de tester l’interface OneSource et c’est donc ce produit que nous détaillons dans cet article.
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Alice Guilhon, Nicolas Moinet, Pearson, décembre 2016, 320 pages, 31€
Cécile Touitou, Presses de l’Enssib , novembre 2016, 184 pages, 22€
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MÉTHODOLOGIE • La recherche d’information audio sur le Web
ICIC 2016
• Chemzent : à l'origine des publications en chimie
• Reprints Desk propose la location d'articles avant un éventuel achat
SERVEURS
• Questel : retour de l'offre marques
• Nombreux changements annoncés par Questel pour Orbit
ACTUALITÉS • En Bref
INDEX 2016 • Index des articles parus dans BASES en 2016
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Davantage présent aux débuts de l’internet, notamment en raison de sa taille limitée, le format audio est devenu depuis plusieurs années déjà le parent pauvre de la recherche d’information, chez les professionnels autant que pour le grand public.
L’explosion de la vidéo, permise notamment par l’augmentation exponentielle de la bande passante disponible, a accaparé l’attention, tandis que des outils de plus en plus efficaces de recherche d’images en ont fait un autre axe central des stratégies de veille (en permettant notamment de repérer des logos de marques dans des images à première vue anodines).
Le son, lui, est passé au second plan.
Pourtant, par d’autres aspects, l’audio est plus que jamais présent sur internet. Par lui-même, pour commencer : les web radios et autres podcasts connaissent depuis cinq ans un pic de popularité exceptionnel, représentant une mine d’informations échappant souvent en partie ou en totalité aux méthodes traditionnelles de recherche d’information.
Ainsi, même si une émission de radio bénéficie bien de sa propre page internet au sein de laquelle il est possible d’effectuer des recherches en utilisant un moteur, on pourra néanmoins facilement passer à côté d’une marque mentionnée au cours de l’émission en elle-même sans que celle-ci ne soit mentionnée dans le titre ou même dans les tags : un service d’e-réputation surveillant cette marque pourra alors laisser passer cette mention.
Mais, le plus souvent, le format audio se mêle aujourd’hui à la vidéo, au point qu’il n’y a maintenant plus vraiment de logique à chercher exclusivement le premier sans le second.
Par exemple, lorsque l’on recherche le discours d’un chef d’entreprise, il est probable que seul l’audio, i.e. ce qui est dit, soit intéressant : la partie vidéo, qui consistera généralement en un plan fixe sur le dirigeant en question, est elle-même dépourvue de valeur. Pourtant, il est de nos jours beaucoup plus probable de trouver ce discours sous une forme vidéo que purement audio : il n’est ainsi pas rare de trouver sur YouTube une « vidéo » qui constitue en réalité un simple fichier audio sur lequel a été apposée une photo. Paradoxalement, pour rechercher de l’audio il faudra alors rechercher de la vidéo.
Pour le professionnel de l’information, la recherche d’information audio (qu’il s’agisse d’un fichier son, ou d’une vidéo dans laquelle l’information de valeur réside dans la piste audio) va s’avérer intéressante :
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Peter Derycz, CEO et président de la société californienne Reprints Desk a présenté sa solution de location d’articles qui fonctionne en particulier avec son widget « Article Galaxy » accessible sur n’importe quel navigateur.
Prenant l’exemple de la veille dans le cadre de la pharmacovigilance, il est parti du fait que dans 50 % des cas, les responsables de la pharmacovigilance n’étaient pas sûrs de la pertinence des documents obtenus par leur veille. En effet les références bibliographiques, même avec le résumé, ne permettent pas toujours de faire un choix sans ambigüité.
L’expérience montre que dans 30 % des cas, les documents achetés (souvent payés 30 à 50 € l’unité) se révèlent non pertinents.
Pour faire faire des économies à ses utilisateurs et leur permettre de se centrer sur les documents vraiment pertinents, Reprints Desk propose depuis 2013 à ses clients de louer les articles qu’ils ont sélectionnés, à un tarif nettement inférieur à savoir 10 à 25 € l’unité.
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A l’occasion de l’ICIC 2016 à Heidelberg, CAS (Chemical Abstracts Services) a présenté deux nouveaux produits ChemZent et MethodsNow.
Nous allons nous intéresser ici à Chemzent.
Chemzent propose la traduction en anglais des notices/résumés de la publication Chemisches Zentralblatt, la plus ancienne publication d’abstracts rédigés originellement en allemand, dans le domaine de la chimie.
La période couverte va de 1830 à 1969, sachant qu’elle constituait la seule publication d’abstracts dans ce domaine jusqu’en 1907, la publication de Chemical Abstracts ayant démarré cette même année.
Chemzent propose un peu plus de 3 millions de références.
On y trouve des documents historiques relatifs à des publications de Louis Pasteur, Niels Bohr ou Albert Einstein.
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Quelques années après sa création en 1979, Questel a développé une offre dans le domaine des marques en proposant une série de banques de données chacune consacrée à un pays (registre). Les marques françaises ont en effet été chargées dès 1984.
Ces informations étaient fournies soit par les offices, tel l’INPI pour la France, soit par la société CompuMark, par ailleurs un concurrent.
Pour faciliter l’accès à ces bases marques par les utilisateurs finaux, dans les services marketing par exemple, Questel a mis en place l’interface Trademarkexplorer qui avait été développée par Minesoft, alors distributeur exclusif de Questel dans plusieurs pays. Trademarkexplorer utilisait des macro commandes s’appuyant sur le langage d’Orbit.
Cette interface intéressante était très agréable à utiliser et proposait des fonctionnalités intéressantes.
En 2005, Questel a acheté la société belge Edital spécialisée dans le domaine des marques avec une approche assez sophistiquée et très adaptée à la recherche dans le domaine des marques.
Questel a poursuivi le développement d’Edital et a finalement abandonné l’interface Trademarkexplorer au profit d’Edital, en 2010, ce qui a entrainé le déchargement de toutes les bases marques de la plateforme Orbit.
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