ResearchGate est un réseau social consacré aux chercheurs leur permettant d’échanger entre eux sur différentes questions et de partager leurs publications.
Récemment ResearchGate a signé des accords avec de nombreux éditeurs offrant ainsi un contenu de plus en plus important, avec, malheureusement des possibilités de recherche très limitées.
ResearchGate multiplie depuis quelques mois les annonces de partenariat avec des éditeurs scientifiques.
Cette stratégie peut être décomposée en deux volets :
● La mise en ligne d’articles, essentiellement en open access, de nombreux éditeurs;
● D’autre part, des accords particuliers confidentiels avec Elsevier et ACS (American Chemical Society) signés en fin de l’année dernière.
Le premier volet est donc le chargement sur la plateforme ResearchGate des contenus de nombreux éditeurs, et pas les moindres.
On peut, en effet, citer, rien que pour les quatre premiers mois de 2024 : Trans Tech Publications (7 titres), SAGE (100 titres), Cambridge University Press (16 titres), Taylor & Francis (400 titres), Wiley (700 titres), Optica Publishing (105 000 articles depuis 2012). Pour sa part, l’accord avec Emerald Journals (18 titres) date de juillet 2023.
Utiliser un assistant IA monotâche comme les GPTs d’OpenAI permet d’utiliser un modèle de langage dans un but spécifique et de façon plus précise qu’avec un chatbot généraliste comme ChatGPT, Gemini ou Copilot. Nous en avons testé une vingtaine dédiés à la recherche et voici les résultats de notre sélection.
Les agents virtuels ne sont pas simplement capables de converser et de guider l’utilisateur comme un chatbot, mais ils peuvent aussi adapter leurs réponses au contexte et à l’intention de celui-ci.
Les plus connus sont les GPTs d’OpenAI, même si d’autres agents sont apparus comme les Hugging Chat Assistants de Hugging Face et les copilotes de Microsoft.
Mais les GPTs d’OpenAI, d’après nos tests, restent les plus opérationnels. Attention, ils ne sont toutefois disponibles qu’avec la version payante GPT Plus, pour un résultat qui reste inégal.
La nouvelle fonctionnalité de recherche IA « Browse for Me » du navigateur Arc n’est disponible que sur iPhone et elle fait déjà grand bruit.
Non seulement elle a été rapidement adoptée par les utilisateurs, mais la presse y voit une fonctionnalité qui réinvente la façon de s’informer… et pourrait être le pire cauchemar des éditeurs.
Disponible depuis quelques mois sur Windows après avoir été adopté par les utilisateurs de Mac (voir notre article « Arc browser réinvente la navigation en ligne », BASES N° 420, décembre 2023), le navigateur Arc vient à nouveau d’attirer l’attention du monde de la tech avec sa nouvelle fonctionnalité « Browse for Me » (que l’on pourrait traduire en français par « cherche pour moi »).
Disponible uniquement sur les iPhones actuellement, le bouton « Browse for Me » apparaît au cours de l’écriture dans la barre de recherche (voir Figure 1).
Qu’il s’agisse du pilotage, de la valorisation ou de la communication de l’activité documentaire, comment les fonctionnalités statistiques de ces outils aident le documentaliste à tirer le meilleur parti de ses outils numériques ?
En documentation, nous avons recours à divers outils numériques pour accompagner nos activités, diffuser nos produits ou offrir des abonnements adaptés à nos utilisateurs.
Ces outils ne sont pas utilisés de la même façon selon la mission du service, la période de l’année et le type d’utilisateurs visés.