Plusieurs sociétés, dont le suisse Faveeo ou encore Synthesio, se sont associées avec DataSift, le spécialiste en Big Data, afin de mettre en place une plateforme de monitoring pour Facebook.
L’objectif est simple, et potentiellement très prometteur : permettre aux marques un accès facilité à l’ensemble des données publiées sur Facebook (qu’elles soient publiées sur des comptes privés ou des pages ou groupes publics). Pour des questions de protection de vie privée, ces données sont anonymisées, mais offrent tout de même un accès à près de 65 attributs (sexe, âge, localisation…).
Cette solution est d’autant plus intéressante qu’il est de plus en plus difficile de surveiller Facebook dans le cadre d’une veille.
S’il était possible il y a encore quelques années de mettre sous surveillance des pages publiques, des groupes, des statuts publics et mêmes des résultats de recherche via des outils de veille spécialisés sur les médias sociaux, cela n’est plus le cas depuis près d’un an lorsque Facebook a subitement décidé de limiter les contenus accessibles via son API. Seules les pages publiques sont encore accessibles par ces outils.
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L’Institute for Competitive Intelligence (ICI) a organisé les 20 et 21 avril derniers à Bad Nauheim (près de Francfort), et ce pour la 8ème année consécutive, sa « Conférence Internationale en Intelligence Economique ».
La conférence a réuni un public très ciblé de professionnels travaillant dans le domaine de la recherche et de la valorisation de l’information : des professionnels du traitement de l’information, des spécialistes des marchés ou de différents secteurs industriels, de l’innovation technologique, R&D mais aussi des chercheurs universitaires spécialisés dans l’intelligence économique.
Selon le format habituel, la conférence s’est déroulée sur deux jours avec plus de 30 ateliers différents, les conférenciers venant de différentes régions du monde : France, Allemagne, Angleterre, Belgique, Pays Bas, Suisse, Autriche, Etats-Unis, Brésil, Israël, Afrique du Sud, Colombie, Japon et Inde. Les ateliers étaient des études de cas, des présentations scientifiques, ou sous forme de tutoriaux (présentées par les éditeurs de logiciels), des « impulse speeches » 1, des récits de meilleures pratiques, des sessions de networking et discours d’experts.
Des séances de formation étaient organisées également par l’Institute for Competitive Intelligence (ICI), avant et après la conférence, qui portaient sur des méthodologies de recherche innovantes, des outils et astuces, bonnes pratiques de niveau expert ou intermédiaire : « Comment trouver des informations sur le web en dehors de Google (recherche avancée, médias sociaux, blogs, ..), « L’intelligence économique et l’utilisation des outils d’analyse stratégique », « Les principes de l’intelligence technologique », etc.
Parallèlement à la conférence se tenait un salon de taille réduite où exposaient certains fournisseurs de solutions logicielles d’intelligence économique Français et européens (tels que KB Crawl, M-Brain, AMI Software, …), des plateformes de recherche de données de type Findout et d’autres acteurs tel que l’Office Européen des brevets.
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Le Centre National de Documentation marocain, sous tutelle du Haut-Commissariat au Plan, organise pour la toute première fois un salon virtuel dédié au domaine de l’information-documentation qui ouvrira ses portes à partir du 1er juillet 2016.
Près de 150 exposants seront présents, répartis au sein de 10 halls thématiques.
FLA est heureux d’annoncer son soutien et sa participation à ce salon innovant
La liste des exposants présents sur le salon : http://cnd.hcp.ma/docexpo2016/Exposants-stands-Liste-des-demandes-recues_a12.html
Pour plus d’informations, et pour vous inscrire, rendez-vous à cette adresse : http://cnd.hcp.ma/docexpo2016
PANORAMA • Les ressources cachées des collectivités territoriales
INSOLITE • Veille et poisson d’avril : et si le piège ne se refermait pas le 1er avril ?
OUTILS DE VEILLE • Visibrain : la tour d’observation des médias en ligne via Twitter
L’ACTU EN BREF • L’actualité des moteurs et du Web social
FICHE PAYS • Sources et Ressources sur l’Ukraine
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Les collectivités territoriales (aussi appelées collectivités locales) produisent de nombreux contenus qui peuvent revêtir un intérêt stratégique pour les décideurs. Par collectivités territoriales, nous parlons aussi bien des communes, métropoles, communautés de communes que des départements ou encore des régions.
Pendant de très nombreuses années, les contenus produits par ces organismes et pourtant voués à être rendus public, étaient très difficilement accessibles ou uniquement aux habitants du secteur en question (journal de la commune par exemple ou délibérations affichées dans le hall de la mairie). Quand l’on souhaitait recevoir une copie d’un document administratif, il fallait alors faire une demande écrite, ce qui prenait un temps considérable quand la demande n’était pas tout simplement refusée pour des motifs plus ou moins valables.
Heureusement, de plus en plus de collectivités ont pris le virage du numérique et proposent depuis des années leurs contenus sur leurs sites Web. Cette tendance s’est accélérée récemment suite à l’essor du mouvement lié à l’Open Data mais également grâce à un cadre juridique de plus en plus strict en la matière. Mais il restait encore de nombreux réfractaires qui ne publiaient pas en ligne leurs documents publics ou bien les publiaient avec des délais frôlant l’indécence.
Dernier évènement en date et pas des moindres : la publication d’un décret en février 2016 précisant les modalités d’application de certains articles de la loi NOTRe concernant la mise en ligne de documents publics par les villes, départements et régions. En clair, ce décret indique entre autres que les communes disposant d’un site Internet sont tenues de diffuser les comptes-rendus du conseil municipal dans un délai d’une semaine alors qu’auparavant, leur seule contrainte était de les publier dans l’enceinte de leurs locaux. C’est évidemment une excellente nouvelle mais encore faudrait-il que toutes les collectivités connaissent et appliquent ces dispositions...
Comme nous le disions en introduction, les sites Internet des communes, des communautés de communes, des départements ou encore des régions regorgent parfois d’informations pouvant représenter un réel intérêt dans le cadre d’une veille concurrentielle, sectorielle, commerciale, appels d’offres, etc.
Mais de quelles informations s’agit-il ?
Pour les communes, on pourrait caractériser les contenus/informations potentiellement utiles dans le cadre d’une veille ou d’une recherche d’informations de la manière suivante :
Pour les communautés de communes, la typologie des ressources intéressantes est sensiblement la même mais elles s’appliquent dans ce cas aux compétences dont ont hérité ces communautés et qui sont différentes de celles de la commune. Rappelons qu’une communauté de communes est un établissement public qui regroupe plusieurs communes. Elles existent depuis 1992.
Ces communautés héritent souvent de compétences qui ne sont alors plus gérées par la commune (ou en partie seulement). C’est le cas du développement économique, de l’aménagement de l’espace, de la gestion des déchets, du transport, de l’urbanisme, de la gestion de l’eau, de l’assainissement, de la construction d’équipements sportifs et culturels et d’écoles, etc.
Dans la même veine, on trouve les communautés d’agglomérations et les métropoles qui regroupent des villes de plus grande importance.
De même, les sites des régions et départements proposeront des contenus de même nature par rapport aux compétences qui leur sont confiées.
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Le 1er avril, de nombreux sites de presse ou blogs jouent le jeu du poisson d’avril en rédigeant des articles plus ou moins farfelus. Certains pièges sont facilement détectables, d’autres beaucoup moins. Ce qui est sûr, c’est que ce jour-là, notre vigilance est accrue et on a tendance à se poser plus de questions quant à la véracité de ce que l’on lit.
Mais notre vigilance baisse à nouveau dès le lendemain et c’est là que les problèmes commencent ... En effectuant une recherche d’informations des semaines, des mois ou des années plus tard, il n’est pas impossible de tomber sur des actualités complètement fausses publiées un 1er avril et de ne même pas s’en rendre compte.
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Dans ce nouvel épisode de notre série consacrée aux sources d’informations par pays, nous nous intéressons aujourd’hui à l’Ukraine.
Le plus grand pays d’Europe en superficie (Russie exceptée) possède en effet un important potentiel, malgré une situation économique et géopolitique complexe.
Pays doté d’une main-d’œuvre à la fois bon marché et qualifiée, large marché de 45 millions d’habitants qui a entamé un processus de rapprochement avec l’Union Européenne, le potentiel de l’Ukraine est en même temps toujours affecté par une corruption endémique, une croissance atone et une situation sécuritaire toujours instable.
Au début de l’année 2016, la majorité des indicateurs économiques de l’Ukraine restaient incertains, malgré une relative stabilisation de la situation depuis 2015 : ainsi, après un effondrement du PIB de 12 % en 2015, la Banque Mondiale prévoit une croissance de 1 % en 2016. L’inflation se maintenait à près de 40 % fin 2015, bien qu’elle soit sur une pente descendante depuis le milieu de l’année. Les exportations ukrainiennes vers l’UE se sont aussi effondrées d’un tiers en 2015 par rapport à 2014 : l’UE reste néanmoins la première destination des exportations ukrainiennes (31,8 % des exportations), devant la Russie (17 %) et la Turquie (6,3 %).
Au-delà de cette situation conjoncturelle difficile, l’Ukraine possède néanmoins plusieurs atouts. Le pays a entamé depuis deux ans un rapprochement avec l’Union Européenne, qui a culminé (d’un point de vue économique, du moins) au 1er janvier avec l’entrée en vigueur de l’accord de libre-échange. Cet accord offre un accès quasi-total (quelques restrictions sont maintenues sur certains secteurs) au marché européen pour les entreprises ukrainiennes, et permettra à terme aux entreprises européennes de bénéficier de la même liberté sur le marché ukrainien.
Ce rapprochement se caractérise de plus par une modification de la législation commerciale ukrainienne visant à la rapprocher des standards européens : à terme, cela facilitera les échanges commerciaux entre l’Ukraine et l’Europe. En plus de cet accord, le rapprochement avec l’UE implique pour l’Ukraine de réaliser un nombre important de réformes destinées à libéraliser son économie, à faciliter l’arrivée d’investisseurs étrangers et à réduire une corruption qui représente encore aujourd’hui l’un des principaux freins à l’investissement. Et si les succès de ces réformes tiennent pour l’heure plus de la rhétorique que du fait établi, le mouvement engagé est réel.
Autre point fort de l’Ukraine, son secteur agricole, l’un des rares à avoir résisté à la récente crise économique, notamment grâce à des investissements massifs réalisés ces dernières années. On peut aussi mentionner le secteur pharmaceutique, qui devrait rester attractif pour des raisons démographiques (la population ukrainienne vieillit) mais aussi car le secteur de la santé est un secteur-clé devant être réformé dans les années à venir, ce qui devrait apporter de nouvelles opportunités pour les entreprises étrangères : au début de l’année 2016, l’entreprise française Sanofi Pasteur a ainsi livré près de 3,7 millions de vaccins contre la polio en Ukraine.
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Créé en 2011, Visibrain se présente comme une plateforme de veille de médias en ligne. Sa particularité est qu’elle s’appuie sur Twitter uniquement pour pouvoir surveiller l’ensemble des médias et des blogs, hormis les forums.
Pourquoi Twitter ? D’après les mots de l’un des cofondateurs de la société, Jean-Christophe Gatuingt, ce réseau social est le « système nerveux du web » expliquant par-là que se retrouvent sur une même plateforme des personnes aux profils très différents (médias, journalistes, influenceurs, communautés, etc.) qui s’expriment de manière illimitée et relaient en volumes très importants du contenu de diverses natures (textes, vidéos, photos, audio).
Ainsi, Visibrain entend permettre à ses clients de surveiller et de maîtriser leur image de marque malgré le flux constant de données.
L’élaboration d’une veille sur Visibrain se fait en deux temps. Tout d’abord, il s’agit de créer un « concept », soit un corpus, que l’on souhaite surveiller (selon des mots-clés ou un panel de comptes Twitter).
Ensuite, au sein de ce corpus, des requêtes qui vont constituer des « sujets », permettront de l’affiner. Il est possible d’estimer si un sujet doit être mieux défini ou bien même s’il vaut la peine d’être surveillé (et donc exploré et analysé à travers la plateforme car il engendre une consommation de mentions dont le quota est fixé pour chaque formule) grâce à une timeline s’étalant sur une période de 30 jours et la fonctionnalité « Quick Trends » qui permet de mettre en perspective le sujet par rapport à un autre, voire 5 autres, et parfois, d’en relativiser son importance.
Elle permet également, si une opération de communication vient d’être lancée, de se comparer aux concurrents. Une fois le sujet validé, il apparaît dans la page d’accueil (home page, voir fig. 1 Réservé aux abonnés) et les données sont consultables sur un tableau de bord (dashboard), présentées selon différents filtres d’analyse.
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Du côté du géant américain Google, l’actualité ne manque pas aussi bien au niveau du moteur de recherche que de ses autres services.
L’entreprise travaille actuellement sur un algorithme pouvant deviner où une photo a été prise même quand l’utilisateur a désactivé la géolocalisation (et notamment supprimé les données exif qui fournissent ces informations de localisation). Pour le moment, le système arrive à reconnaître le continent dans 48% des cas, le pays dans 28 % des cas, la ville dans 10% et la rue dans 3.6% des cas. Il faudra encore un peu de travail avant que le concept présente un réel intérêt.
Sur le moteur Google images, les internautes peuvent désormais bookmarker les images qui les intéressent (seulement aux Etats-Unis pour le moment).
Enfin, YouTube a ajouté une nouvelle fonctionnalité permettant de flouter des zones sur une vidéo. Cette fonctionnalité n’est bien sûre accessible qu’aux personnes propriétaires de la vidéo souhaitant la charger sur YouTube.
On le sait, Google indexe les documents au format PDF, mais ce que l’on sait moins, c’est qu’il les met peu souvent à jour (c’est-à-dire qu’il ne retourne pas souvent pour crawler un même document) car il considère que les documents PDF sont des documents « stables » qui sont rarement modifiés ou mis à jour. Ce n’est donc pas en passant par Google que l’on pourra surveiller efficacement les changements sur un document PDF.
L’outil de traduction Google Translate offre désormais plus de 100 langues. Il indique couvrir 99% des langues parlées dans le monde. Néanmoins, la qualité de la traduction laisse toujours autant à désirer.
Enfin, du côté des images, Google a averti que la fin de Picasa son outil de stockage et de gestion de photos était proche. A partir du 1er Mai 2016, il ne sera plus possible d’ajouter ou modifier des photos.
Quelques nouveautés chez Bing aussi. Le moteur d’images permet maintenant d’effectuer des recherches d’images par similarité en chargeant une photo présente sur son ordinateur ou en indiquant l’url d’une image. Cela lui permet donc d’offrir les mêmes fonctionnalités que Google en la matière. De même, il est enfin possible de filtrer les résultats de recherche par date dans le moteur (ce que Google fait depuis des années !).
Yahoo est à vendre et Microsoft pourrait être intéressé notamment pour conserver le contrat liant les deux entreprises sur le marché américain.
En début d’année, la fondation Wikimédia avait annoncé son intention de lancer son propre moteur de recherche, ce qui avait suscité de nombreuses réactions. Machine arrière, ils viennent désormais d’indiquer qu’il ne s’agira pas d’un moteur de recherche à part entière et ne viendra pas concurrencer les acteurs du secteur. On a hâte d’en savoir un peu plus !
Les moteurs de recherche Ixquick et StartPage dont nous avions déjà parlé dans le n°110 de Netsources (mai-juin 2014) vont fusionner pour ne faire qu’un seul. Leur créneau : le respect de la vie privée.
Microsoft a de son côté lancé une nouvelle version de son moteur académique (équivalent de Google Scholar) Microsoft Academic. C’est l’aspect sémantique qui aurait été grandement amélioré même si peu d’informations sont pour le moment disponibles.
En Belgique, un nouveau moteur a été lancé en mars 2016. Il s’agit de Lex.be, le premier moteur de recherche pour consulter la législation et la jurisprudence belge (www.lex.be).
Voici également un moteur original Instant Logo Search, un moteur entièrement dédié aux logos de marques. Les logos peuvent être sauvegardés ou téléchargés. (http://instantlogosearch.com). Ce moteur n’effectue la recherche que sur son propre fonds d’images et non sur l’intégralité du Web. Il ne servira donc qu’à trouver un logo que l’on pourra intégrer à une présentation par exemple.
Chez Twitter, on note également plusieurs nouveautés. D’une part le lancement d’un moteur de GIFs (ces images qui bougent fréquemment utilisées sur les réseaux sociaux) intégré à Twitter. Sur un sujet plus sérieux, on entendait depuis plusieurs mois des rumeurs quant à la suppression de la limite de 140 caractères pour la longueur de tweets. Le CEO de Twitter, Jack Dorsey a récemment annoncé que cette limitation ne disparaîtrait pas et ce, même si l’entreprise travaillait sur des évolutions quant à l’affichage des tweets.
Nous en avions déjà parlé mais Twitter a modifié son algorithme et affiche désormais en haut de la timeline une sélection des tweets jugés les plus pertinents. Pour ceux qui voudraient conserver une liste de résultats contenant tous les tweets de ses abonnements classés par ordre antéchronologique, il est possible de désactiver ce nouvel algorithme dans les paramètres de son compte.
Même si l’application n’est pas développée par Twitter, elle est néanmoins très intéressante : l’extension à Google Spreadsheets appelée Twitter Archiver permet de récupérer des tweets sur un compte, un hashtag, un lieu, etc. et de les stocker automatiquement dans le tableur de Google un peu à la manière d’une base de données de tweets.
Toujours pour Twitter, voici un outil qui n’est pas nouveau mais néanmoins intéressant : Keyhole, un moteur qui recherche simultanément sur Twitter et Instagram.
A l’image de Twitter, Instagram a décidé de mettre en place un nouvel algorithme qui ne classe plus les résultats par ordre antéchronologique mais par pertinence (les contenus jugés les plus pertinents pour l’utilisateur). Ce classement prend notamment en compte l’intérêt de l’internaute pour le sujet et la relation avec la personne qui a posté l’image. Autre nouveauté sur la version Web, une nouvelle fonctionnalité permettant de découvrir des comptes à suivre (en lien bien sûr avec ses goûts et son historique). On y accède en haut à droite de l’écran.
Notons qu’un nouvel outil permettant de mesurer la popularité des comptes Instagram appelé Influence by Hypetap (https://influence.hypetap.com) a récemment vu le jour. Il se base notamment sur le nombre de posts, le nombre de followers ou encore le taux d’engagement (capacité à générer des commentaires ou des likes).
Facebook améliore son moteur de recherche en intégrant maintenant dans les résultats les vidéos Live créées par les utilisateurs.
Pinterest vient d’annoncer le lancement de Pins enrichis, c’est à dire qu’il est possible de proposer plus d’informations sur une image que cela n’était possible auparavant. A titre d’exemple, le Pin d’un article de presse pourra désormais contenir le titre de l’article, le nom de l’auteur et un descriptif. Cette fonctionnalité n’est disponible que pour certains types de Pins : applications, films, recettes de cuisine, produits, articles et lieux.
L’outil de veille sur les médias sociaux, Talkwalker a récemment introduit une nouvelle fonctionnalité intéressante : la reconnaissance d’image. Sa nouvelle technologie exclusive permet à plus de 30 000 marques de détecter leurs logos dans les images publiées sur les réseaux sociaux ou ailleurs sur Internet (même lorsque la marque n’est pas mentionnée dans le texte).
De son côté, Synthesio (outil de veille sur les médias sociaux) lance sa version 3.0 avec des innovations intéressantes : back data (recherche d’antériorité), troncature, nouvelles métriques, etc.
Dans un tout autre domaine, l’application mobile Whatsapp permet désormais le partage de PDF.
Le MEDEF lancera à la fin du mois d’avril une plateforme Web avec des MOOCs et des COOCs (version professionnelle du MOOC) sur la thématique du numérique. Elle sera réservée à ses adhérents.
Sondage sur les livrables de veille
Bases, le magazine des professionnels de l’information exigeants va consacrer sa Une de juin aux livrables de veille (panorama des solutions, statistiques sur les pratiques actuelles des professionnels, retours d’expérience, etc). Pour dresser au mieux un état de la situation sur le marché français, nous avons besoin de vous !
Nous avons réalisé un questionnaire en ligne qui nous permettra de mieux comprendre quelles sont les solutions les plus utilisées aujourd’hui, l’importance du livrable et de la diffusion dans le processus de veille, etc.
Il ne vous prendra pas plus de dix minutes! Tous les répondants recevront le numéro de Bases consacré aux livrables de veille dès sa parution.
Il est accessible à l’adresse : http://goo.gl/forms/eprKG4cQSO
PANORAMA • Blogs Corporate : source d’information stratégique ou simple instrument de com ?
MÉTHODOLOGIE • Quand la presse se contente de reprendre une dépêche ou un communiqué : comment faire le tri ?
DOSSIER « VEILLE MÉDIAS SOCIAUX » • Un radar hi-tech pour surveiller le web social
A LIRE • La revue du web de janvier-février 2016
AGENDA • Créativité et Innovations dans les pratiques de veille et recherche d’information (Conférence I-Expo – le 24 mars)
L’ACTU EN BREF • L’actualité des moteurs et du Web 2.0
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