On reconnait bien souvent un professionnel de l’information à son utilisation intensive et souvent experte des opérateurs booléens et autres opérateurs avancés.
Chaque question est ainsi décortiquée, traduite en une liste de mots-clés avec leurs variantes et synonymes et combinés entre eux avec des opérateurs booléens et de multiples opérateurs avancés (termes dans la même phrase, termes cités au moins n fois, opérateurs de proximité, etc.).
Les autres professions ont quant à elles généralement tendance à méconnaître ces différentes fonctionnalités et à préférer des requêtes en langage naturel.
L’information scientifique et technique est importante pour une structure de type centre technique. Il est donc nécessaire de remettre périodiquement en cause ses sources d’informations en choisissant le meilleur compromis entre la qualité et le coût.
En 2016, le CETIM a cherché à évaluer la pertinence de ses sources d’informations. Celles-ci ont en effet évolué depuis quelques années, en particulier avec l’apparition de l’offre des éditeurs scientifiques. Le département Veille Technologique et Stratégique du CETIM s’est appuyé sur un projet de fin d’année de Licence Pro en info-doc de Lyon pour évaluer la pertinence des différentes sources d’information.
Le 24 août dernier, Elsevier annonçait le lancement de Datasearch, un moteur de recherche de données scientifiques multisectoriel en libre accès. L’outil fonctionne comme un moteur classique et interroge des sources scientifiques et répertoires institutionnels. Elsevier explique avoir voulu aider les chercheurs à gagner du temps dans leurs recherches car les moteurs de recherche généralistes ne sont pas forcément les plus adaptés pour identifier de l’information très spécialisée et ne se limitent pas à des sources d’information qualifiées et reconnues.
Ainsi, Datasearch indexe pour le moment les tableaux, figures et données supplémentaires associées aux articles publiés sur ScienceDirect, arXiv et PubMed Central ainsi que le contenu de NeuroElectro, Dryad, PetDB, ICPSR, Harvard Dataverse et ThemoML.
Pour le moment Datasearch n’est pas un produit commercial mais Elsevier indique que le business model n’est pas encore finalisé. Impossible donc de savoir comment va évoluer le produit dans les mois et années à venir et s’il va rester en libre accès.
SERVEURS • De nouvelles possibilités avec PatentPak sur STN classique
OPEN DATA
• ScanR : un moteur pour identifier des acteurs de la recherche publique et privée en France
BREVETS
• Orbit fait un premier pas hors des brevets
• De l'intérêt de la presse pour la gestion des marques verbales
BASES DE DONNÉES
• La base EMIS spécialisée sur les marchés émergents évolue
ACTUALITÉS / AGENDA • En bref
SERVEURS • Thomson Reuters se recentre sur la finance
BREVETS
• Le Brexit remet en cause le Brevet Unitaire
• Le CFIB noue un partenariat avec l’IEEPI
A LIRE • La revue du Web de l’été 2016
Depuis quelques temps déjà, la recherche dans le domaine de la chimie se développe et se complexifie.
C’est pourquoi, et comme il y a un vrai marché, les offres déjà conséquentes se développent, se diversifient et apportent de nouvelles possibilités qui aident les chercheurs dans leur travail, en particulier en leur faisant gagner du temps dans le traitement de questions toujours plus complexes.
Curieusement, deux initiatives issues de sociétés plus complémentaires que concurrentes ont apporté des réponses ayant des points communs à des problématiques voisines.
Le Ministère de l’éducation Nationale, de l’Enseignement et de la Recherche vient de lancer en version beta ScanR, un moteur de recherche permettant d’identifier des organismes de recherche publics et privées (petites, moyennes et grandes entreprises).
Quand on connaît la difficulté qu’il y a à localiser des experts ou des acteurs sur une thématique précise, on ne peut que se féliciter du lancement d’un tel produit.
Mais comment fonctionne t-il, quelles sources interroge t-il et quelles sont ses limites ?
Avec sa marque ombrelle Orbit, Questel est depuis de nombreuses années, dans une dynamique d’élargissement de son offre, soit en créant des fonctionnalités nouvelles, soit en rachetant des entreprises offrant des prestations relatives aux brevets par exemple GEM 360 ou Intellixir.
En revanche, tout ce qui concerne les marques a été abandonné comme on le sait en juin 2010, avec la vente de toute l’activité EDITAL à CT Corsearch, filiale de Wolters Kluwer.
Sauf erreur, c’est aujourd’hui la première fois qu’un élargissement de l’offre d’Orbit ne concerne pas les brevets, même si elle est réservée aux clients de la plateforme d’Orbit consacrée aux brevets.
Quiconque souhaite utiliser une marque - le plus souvent commercialement, mais ce n’est pas le seul cas de figure - pense généralement à la déposer.
Avant le dépôt, il fait ou fait faire des recherches plus ou moins sophistiquées dans différents registres nationaux ou européens pour voir si la marque est disponible.
Cela peut parfois s’avérer insuffisant. En effet, une sage précaution consiste, en plus des recherches dans les registres, à effectuer des recherches dans la presse lorsqu’il s’agit de marques verbales. Cela permet de voir si le terme qui a vocation à devenir une marque est déjà utilisé et, si oui, dans quel contexte et avec quelle fréquence. Si c’est le cas, c’est un élément à prendre en compte pour décider de déposer ou non la marque.
EMIS est une base de données spécialisée dans l’information concernant les marchés émergents (données économiques et financières sur les entreprises, les pays et les industries). Elle appartient au groupe Euromoney Institutional Investor plc.
Nous avions déjà eu l’occasion de lui consacrer un article en 2013 qui s’intitulait « EMIS : une clé d’accès aux marchés émergents » (Bases n° 303 - Avril 2013).
Mais en trois ans, le produit a bien changé avec notamment une nouvelle interface et une meilleure couverture.
Use less boolean on Google for better productivity, Sourcecon, 17 Mai 2016, http://bit.ly/29MUXk2
On voit de plus en plus de personnes remettre en cause le principe de recherche sur Google qui utilise la syntaxe traditionnelle à base d’opérateurs booléens.
L’auteur de cet article s’interroge sur l’utilisation de cette syntaxe et se demande si finalement une recherche en langage naturel ne fournirait pas des résultats plus pertinents.
Depuis quelques années, Google a considérablement amélioré ses performances en matière de recherche sémantique. De fait, les opérateurs booléens ont une utilité moindre et pourraient même restreindre la recherche et faire passer l’internaute à côté des résultats les plus pertinents. L’auteur de l’article présente plusieurs tests pour illustrer ses propos.
De ces différents tests, il tire des enseignements intéressants :
Google et ses concurrents ont du souci à se faire. Le parlement français a récemment voté la loi « création » qui oblige entre autres les moteurs à payer une redevance pour indexer et afficher des photos dans leurs moteurs d’images. La redevance devra être versée auprès d’une société de gestion collective agréée, telle que la SAIF, l’ADADGP, ou une autre structure ad hoc.
A l’exception des professionnels de l’image et de la photographie qui enregistreront leurs œuvres auprès de ces organismes de gestion, il est hautement improbable que le citoyen lambda qui publie des images sur le Web touche le moindre centime en droit d’auteur de la part de ces organismes. Certains dénoncent également le déséquilibre entre Google et des petits moteurs de recherche indépendants qui ne disposent pas du budget de Google et qui préfèreront désindexer certaines images car ils ne pourront pas supporter ces nouveaux coûts.
De son côté, le moteur de recherche DuckDuckGo, qui se positionne sur le créneau des moteurs qui respectent la vie privée, s’améliore et propose de nouvelles fonctionnalités de recherche. Les dernières en date : la possibilité de filtrer les résultats par date (past day, past month, etc.) et l’ajout de sitelinks pour certains sites. Rappelons que les sitelinks sont des liens affichés au-dessous de certains sites dans les résultats et sont destinés à faciliter la consultation du site par les internautes. La structure des liens du site est analysée afin de définir des raccourcis permettant aux internautes de gagner du temps et de trouver rapidement l’information qu’ils recherchent.
Il aura finalement fallu attendre huit ans pour que Thomson devenu Thomson Reuters abandonne ses activités dans les domaines scientifique et de la propriété intellectuelle (Thomson Innovation, CompuMark, …) qui a été, un temps, un de ses points forts.
Pourtant, dès le rachat de Reuters par Thomson en 2008, la question s’était posée du maintien ou non de cette activité dans le groupe (voir BASES n° 250, juin 2008).
Finalement, seuls les serveurs Dialog et DataStar avaient été rapidement vendus à Proquest qui les détient toujours.
Nous avons évoqué récemment (Bases n° 337 - mai 2016) la complexité du projet du Brevet Unitaire en gestation depuis plusieurs dizaines d’années. Alors que l’on pouvait espérer un début de mise en place en 2017 le vote britannique du 23 juin vient tout remettre en cause.
En effet, le Royaume-Uni n’avait toujours pas ratifié le Brevet Unitaire alors que c’est, ou plutôt c’était une condition nécessaire, mais pas suffisante.
On ne peut écarter, même si elle semble peu probable, une ratification avant la sortie effective du Royaume-Uni de l’Union Européenne mais dans ce cas, cela laisse ouverte la question de la renégociation après cette sortie.
On est donc dans une situation de blocage qui risque de durer longtemps, voire d’enterrer définitivement le projet dans la mesure où le Royaume-Uni est un des pays considéré comme important en Europe puisque sa ratification était indispensable, avec celles de la France et de l’Allemagne pour l’entrée en vigueur du Brevet Unitaire et de la juridiction qui devait lui être associée, à savoir la JUB (Juridiction Unitaire des Brevets).
Du coté des marques, c’est un peu différent puisque la marque européenne existe déjà.
Mais la question se posera de déposer spécifiquement ses marques au Royaume-Uni lorsque le Brexit sera devenu effectif.
Auteur : François Libmann, Directeur de Publication
La réunion annuelle du Club Francophone de l’Information Brevet (CFIB) a eu lieu à la fin du mois de mai dernier dans les locaux de l’Institut Européen Entreprise et Propriété Intellectuelle (IEEPI) à Illkirch, près de Strasbourg. A cette occasion, ces deux organismes ont établi une convention de partenariat permettant d’accroitre la synergie entre eux.
L’IEEPI, institut de formation à la propriété intellectuelle et le CFIB qui réunit 140 experts francophones de la recherche d’information brevet ont, en effet, tous deux intérêt à enrichir, en particulier par l’échange d’experts, leurs collaborations dans un univers en évolution très rapide.
Auteur : François Libmann, Directeur de Publication
DOSSIER SPÉCIAL LIVRABLES DE VEILLE
• La technologie au service des différentes phases de la veille
• Les problématiques liées aux livrables de veille
• Sondage sur les pratiques actuelles en matière de livrable de veille
• Respect du droit d auteur : la vigilance est de mise !
• Livrables de veille : quels outils et solutions ?
• Tirer parti de ce qui est déjà disponible en interne
• Les outils gratuits ou bon marché
• Les outils payants
• Retours d expérience de professionnels
• L’ATEN : le défi de la politique du gratuit
• CETIM : livrables en pleine réflexion
• ALLNEX : le sur-mesure et les ressources internes
• PMU : le choix du RSE
• BUREAU VERITAS : une veille réglementaire à grande échelle
• FLA CONSULTANTS : Sur-mesure et analyse, l'avenir des livrables de veille
Le livrable de veille constitue la partie visible du savoir-faire des professionnels de l’information. Le fond comme la forme y ont toute leur importance.
Il doit d’une part fournir des « informations de choix », à condition que les phases de sourcing, de recherche, de collecte et de sélection aient été bien menées. Il doit d’autre part être conçu et présenté dans le format le plus adéquat par rapport aux besoins de son destinataire, aussi bien au niveau de l’analyse des informations que de la mise en forme du contenu, rapidement lisible, pour susciter l’intérêt et la curiosité.
BASES DE DONNÉES / INNOVATION • Identifier et trouver des informations sur des startups : les cas de Sourcinno et de Bonjour Idée
BREVET • Brevet unitaire : pas si simple
BASE DE DONNÉES • Statista : des millions de statistiques à portée de clic
AGENDA
• L'ICIC retourne à Heidelberg
• DocExpo : le 1er salon virtuel de la veille, de la documentation et de la gestion de l'information
METHOLOGIE • Comment sélectionner des matières plastiques parmi 90 000
WEB PROFOND • Agrobiobase, une source d'informations sur les bioproduits
L'ACTU EN BREF • L'actualité du monde de l information
L’apparition et le développement de startups constituent une tendance forte aussi bien en France que dans le monde.
Il n’est d’ailleurs pas simple de définir précisément ce qu’est une startup. On peut en fait remarquer qu’il n’existe pas vraiment de définition standard de ce qu’est une startup, les définitions pouvant varier selon les sources.
Par exemple, pour Wikipedia, la startup est une jeune entreprise innovante à fort potentiel de croissance qui fait souvent l’objet de levées de fonds, alors que pour les créateurs de l’outil Sourcinno que nous verrons plus loin, une startup est une entreprise innovante avec potentiel de croissance et un modèle relativement déployable à l’international. On comprendra, au vu de ces définitions, qu’il n’est pas évident de faire, a fortiori de façon automatisée, une sélection parfaite de startups.
Il y a une dizaine d’années, deux consultants allemands du BCG (Boston Consulting Group), lassés de la difficulté qu’ils rencontraient à trouver facilement et rapidement des statistiques et données quantitatives sur des sujets divers et variés, ont décidé de lancer leur propre projet.
C’est ainsi que Statista a été lancé en Allemagne et plus précisément à Hambourg en 2007. En quelques années, la startup a pris de l’ampleur et compte aujourd’hui plus de 250 employés (des statisticiens, des éditeurs et des experts en bases de données) répartis entre Hambourg, Londres, Madrid et New-York.
L’entreprise a été récompensée à plusieurs reprises et a notamment été nommée « Meilleur portail de statistiques » en 2014 et 2015 par le Library Journal.
Le brevet unitaire dont on parle depuis des années et des années était supposé apporter simplicité et économies aux déposants souhaitant se protéger dans l’ensemble de l’Union européenne aussi facilement que dans l’ensemble des Etats-Unis.
Seule l’Espagne apporte une fausse note car elle refuse d’adhérer à ce brevet unitaire dans la mesure où les langues autorisées sont les langues officielles de l’OEB à savoir le français, l’anglais et l’allemand.
Lors d’une conférence à l’occasion de la journée annuelle du CFIB (Club Francophone de l’Information Brevet) un spécialiste du sujet M. Francis Leyder, conseil en PI chez Zephyra SCRL a fait apparaître toute la complexité et les incertitudes liées à la mise en place de ce brevet unitaire. Il a en effet cité et commenté les nombreux textes concernant le brevet unitaire.
Prospector Materials Database est aujourd’hui proposé par UL Prospector, une société américaine plus que centenaire employant plus de 12 000 personnes, spécialisée dans la sécurité, la certification et l’homologation dans une grande variété de domaines.
UL a acquis en 2012 la société américaine IDES qui se présentait comme le leader mondial de l’information sur les matières plastiques et leurs propriétés et en 2013 Innovadex spécialisée dans différents domaines de la chimie : adhésifs et colles, alimentation, arts graphiques…
Agrobiobase est réalisée par le pôle de Compétitivité Industries & Agro Ressources (IAR) basé à Laon.
Cette banque de données en libre accès permet de rechercher un bioproduit ou un fournisseur de bioproduits de multiples façons :
On obtient comme résultat une liste de produits avec le nom du fournisseur, une brève description et une photo.
En cliquant sur en savoir plus, on obtient une description plus précise et parfois un lien vers le site du fournisseur.
Un onglet permet, après s’être identifié, de demander au pôle IAR d’envoyer une demande d’information au fournisseur du produit.
Actuellement 296 produits de 96 fournisseurs sont recensés, en France et à l’international.
Les producteurs/fournisseurs de bioproduits sont invités à enrichir la base, gratuitement s’ils sont membres du pôle IAR, en payant une somme modique s’ils ne le sont pas.
Par ailleurs, le site propose 14 dossiers thématiques pointus. Le plus récent datant de février 2016 porte sur les produits biosourcés appliqués aux composites, Focus sur les résines biosourcées dans vos composites.
On trouve en outre la liste des partenaires du pôle et des liens utiles.
Auteur : François Libmann, Directeur de Publication
Factiva a récemment lancé une application Iphone permettant de suivre l’actualité en tout lieu et à tout moment. Cette application donne accès aux alertes, newsletters et actualités issues des titres présents dans Factiva. Il est possible de sauvegarder les articles pour les lire plus tard sans avoir de connexion internet.
La base de donnée Inspec (littérature scientifique et technique) est désormais accessible sur Proquest (nous rappelons qu’elle était déjà accessible depuis bien longtemps sur la plateforme Proquest Dialog et sur STN).
Proquest a également lancé récemment neuf bases de données régionales avec plus de
3 000 titres de revues académiques (business, science, sciences humaines et sociales, médecine, etc.). Les neuf bases sont les suivantes : Australie & Nouvelle Zélande, Europe continentale, Europe de l’Est & Europe Centrale, Asie de l’Est et du Sud, Inde, Amérique latine et péninsule ibérique, Afrique & Moyen-Orient, Turquie, Royaume-Uni & Irlande.
Après une session à Nice, le prochain ICIC (International Conference on Trends for Scientific Information Professionals) retourne à Heidelberg où il se tiendra les 17 et 18 octobre 2016.
La formule « pas de conférences en parallèle, brève présentation de produits en plénière et exposition attenante » est reconduite puisqu’elle donne satisfaction depuis fort longtemps.
Le programme de cette année propose plusieurs conférences sur de nouvelles possibilités de recherche dans le domaine de la chimie.
D’autres, comme on s’y attend, sont centrées sur les brevets et les différentes analyses que l’on peut faire avec ce matériau.
Plus originale, une conférence s’intéressera à l’utilisation des données de financement de la recherche pour détecter des tendances le plus tôt possible.
On parlera aussi de fenêtre de commercialisation et d’optimisation de l’innovation.
Annaïg Mahé est maître de conférences à l’Urfist de Paris / Ecole Nationale des Chartes et membre du laboratoire Dicen-Idf du Cnam et ses recherches portent sur les évolutions de la communication scientifique à l’ère numérique (et notamment les pratiques informationnelles des chercheurs, le libre accès à l’IST, ou les humanités numériques)
Le terme « altmetrics » est à la mode dans l’univers des publications scientifiques. Mais de quoi s’agit-il exactement ?
Comme nous l’avions mentionné dans le précédent numéro de Bases, le salon i-expo a rencontré un véritable succès en termes de fréquentation cette année.
Cela s’explique sûrement en partie par le fait que quatre salons avaient lieu en même temps (un salon orienté RH, un second sur le e-learning, un troisième le plus à même d’intéresser les professionnels de l’information, « Solutions Intranet, RSE et collaboratif » et bien-sûr i-expo).
Le salon i-expo regroupait une vingtaine d’exposants principalement des éditeurs d’outils et la presse spécialisée du domaine.
OUTILS DE CURATION • Veille & Curation sur Twitter : quels sont les meilleurs outils ?
BREVETS • Minesoft/Patbase lance Chemical Explorer
SALON/CONFÉRENCE • i-expo : renouveau et transformation
RESSOURCES MÉTIER • You Tube / DailyMotion : quel intérêt pour les pros de l''info ?
ACTUS EN BREF • L'actualité des serveurs, bases de données, outils de veille et éditeurs scientifiques
A LIRE • La revue du web de Mars 2016
A l’automne 2015, Twitter a ouvert au grand public son outil de curation de contenu appelé -sans grande originalité- Curator (qui n’a absolument rien à voir avec l’outil de curation français El Curator).
L’outil déjà accessible à une poignée de professionnels depuis mai 2015, a pour ambition de répondre à un besoin majeur des professionnels de l’information : la possibilité de mettre en place des requêtes complexes afin de pouvoir trouver l’information pertinente sur Twitter et de la diffuser ensuite.