Le Cerema (Centre d’études et d’expertises sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement) a été créé en 2013 par la fusion de 11 organismes. C’est un centre de ressources et d’expertise interdisciplinaire qui travaille essentiellement pour l’État et les collectivités.
Le Cerema met à disposition des rapports d’études, des produits éditoriaux, des avis techniques, des articles qu’il réalise dans ses domaines de compétence.
En novembre 2021, le Cerema s’est doté d’une plateforme documentaire pour recenser et capitaliser l’ensemble de ses productions et livrables disponible à l’adresse : https://doc.cerema.fr/
C’est à cette plateforme riche en contenus et très ergonomique que nous allons nous intéresser dans cet article (Cf. Figure 1. Portail documentaire du Cerema).
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Le portail documentaire partenarial Eau & Biodiversité (https://www.documentation.eauetbiodiversite.fr/) a été mis en place depuis une douzaine d’années en co-animation entre l’OFB (Office français de la biodiversité) et OiEau (Office international de l’eau) et avec le soutien financier de l’OFB.
Il compte aujourd’hui 29 contributeurs mettant à disposition leur documentation technique et scientifique sur les thématiques de l’eau et de la biodiversité. Cette littérature grise libre de droits, souvent difficile d’accès, est ainsi partagée et rendue accessible à tout visiteur du portail (Cf. Figure 1. Portail Eau & Biodiversité).
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Horti’doc est un site particulièrement riche pour qui s’intéresse à l’horticulture.
Il propose ainsi un grand nombre de liens vers différentes ressources : formations, centres de documentations, contacts européens, fonds patrimoniaux, etc.
Le réseau documentaire, créé en 2003, à l’origine de ce portail associe ASTREDHOR (Institut Technique de l’Horticulture), Agrocampus Ouest (Centre d’Angers), le site d’Angers de l’INRAE et Plante & Cité.
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La grande force d’Hortidoc repose dans sa capacité à signaler les principales sources, ressources et produits documentaires du secteur, ce qui est extrêmement précieux notamment pour le sourcing du veilleur (Cf. Figure 1. Hortidoc)
Sont ainsi référencés :
Créé en 1992 par le centre de documentation de l’UIC (Union Internationale des Chemins de fer), le portail Raildoc (raildoc.uic.org) fournit de nombreuses ressources dans le domaine du transport ferroviaire international et dans les domaines connexes (politique des transports, environnement, énergie, télécommunications, etc.).
Quelles ressources ?
Le portail donne ainsi accès à :
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La Twittliste de l’industrie automobile
À l’occasion de la journée des utilisateurs qui s’est déroulée en distanciel, Covid oblige, STN a présenté plusieurs nouveautés de différente nature.
Et le moins que l’on puisse dire, c’est que STN continue à enrichir son offre, que ce soit au niveau de la couverture ou des fonctionnalités.
Une nouvelle base de données a été chargée qui a pour nom Russian Patents Full-Text (RUFULL). Elle propose le texte intégral en anglais des demandes de brevets, des brevets délivrés ainsi que des modèles d’utilité publiés par :
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Toute recherche d’information débute généralement par une recherche sur un moteur de recherche web généraliste et bien souvent Google.
Comme nous avons pu le voir dans le dernier numéro de NETSOURCES n°154 (septembre/octobre 2021), Google est de plus en plus un assistant virtuel, très bon certes, qui sélectionne des informations qu’il va présenter à l’utilisateur. Et en faisant cela, il s’éloigne de plus en plus de l’exhaustivité que l’on peut chercher à atteindre dans le cadre de certaines recherches d’informations.
C’est pour cela qu’il est plus que jamais utile d’aller interroger d’autres moteurs qui pourront faire émerger des résultats différents et complémentaires.
Ces dernières années, plus aucun acteur n’essayait véritablement de concurrencer directement Google, à l’exception de Bing qui gardait malgré tout toujours un train de retard. Les nouveaux acteurs, souvent des métamoteurs, faisaient tous le choix de se positionner sur des créneaux différents de ceux de Google : moteur qui respecte la vie privée comme Qwant ou DuckDuckGo, moteur qui aide à la sauvegarde de la planète comme Ecosia ou encore Lilo, moteurs thématiques, etc.
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Véronique Mesguich a publié récemment publié la deuxième édition de « Rechercher l’information stratégique sur le Web » aux éditions Deboeck Supérieur. L’occasion pour nous de discuter avec elle de ce nouvel ouvrage et des challenges qui attendent les professionnels de l’information en 2022.
AM. Libmann : « Rechercher l’information stratégique sur le web » en est donc à sa deuxième édition. On se rappelle la précédente série des Net recherche co-écrits avec Armelle Thomas. À quel moment se rend-on compte qu’il faut refaire un tour complet de la précédente édition ? Et est-ce qu’aujourd’hui le rythme s’accélère dans un contexte de bouleversements permanents ?
V. Mesguich : L’évolution est parfois tellement rapide qu’il faudrait idéalement pour certains points envisager une mise à jour annuelle… ce qui n’est pas très réaliste au regard du temps long de l’écriture et de la publication.
La précédente édition a été publiée en 2018, j’ai démarré la mise à jour fin 2020 pour une parution à l’été 2021. Il est difficile de déterminer le moment le plus opportun pour une nouvelle publication : le rythme de l’innovation, dans le monde de la recherche d’information comme d’autres secteurs, n’est en effet pas linéaire ni continu. Les changements se produisent souvent sous forme aléatoire ou chaotique.
Créée en 1998, African Journals Online est une association sans but lucratif basée en Afrique du Sud qui propose le texte intégral de 538 publications académiques africaines à comité de lecture issues de 33 pays.
Les pays les mieux représentés sont :
- Le Nigéria (229 publications) ;
- L’Afrique du Sud (97 publications) ;
- L’Éthiopie (30 publications) ;
- Le Kenya (29 publications) ;
- Le Ghana (27 publications).
Mais quelques pays ne sont présents que par une seule publication, tels que le Bénin, la RDC, la République du Congo, l’Érythrée, le Lesotho, Madagascar, le Mozambique, etc.
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L’OMPI (Office mondial de la propriété intellectuelle) offre sous le nom d’INSPIRE un recensement de 35 bases de données brevets disponibles dans le monde dont quelques sites d’offices de brevets (européen, japonais, coréen, russe, OMPI).
Cependant, on ne trouve pas, par exemple, les sites français, américain ou australien, sachant que les offices sont nombreux à proposer une recherche dans leurs collections. On ne trouve pas non plus Google Patent. Cela dit, la liste n’est pas close.
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17 critères permettent d'affiner la sélection des bases.
On peut, par exemple, sélectionner les systèmes gratuits (au nombre de 14 sur les 35) ou la possibilité de faire des troncatures à droite, à gauche, au milieu ou des deux côtés (12 sites le permettent) de disposer de la troncature illimitée (dans 20 sites). On peut aussi choisir parmi sept possibilités de recherches sur les structures chimiques.
Dialog a chargé récemment la banque de données bien connue clinicaltrials.com qui est, par ailleurs, accessible gratuitement à cette même adresse.
Cette banque de données présente près de 400 000 essais cliniques réalisés ou en cours de réalisation aux États-Unis et dans 200 pays du monde entier.
Il faut savoir que tous les essais cliniques réalisés ne sont pas présents, car leur enregistrement n’est pas toujours obligatoire.
Chaque document est extrêmement détaillé avec de multiples champs.
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